Presse allemande

Rishton sert aux invités un délicieux menu musical.

Le 31e festival d’orgue de Rheda s’est achevé dimanche avec un poids lourd international. Le Dr. Tim Rishton a su comment inspirer son public dans l’église Saint Clément.

En chef de la séquence culinaire, le Dr. Tim Rishton a profondément gâté le public avec son excellente interprétation. « Si le festival mérite l’étiquette "international", cela s’applique également à l’invité de ce soir », a déclaré le pasteur Thomas Hengstebeck dans son discours introductif. Rishton a présenté sa version de Vivaldi et Bach : claire et amicale et baignée de soleil italien. En introduction, la « marche processionnelle » de William Mathias avait déjà marqué un pas animé dans cette direction. En véritable maître de la sobriété, Rishton s’est affirmé dans la « Sonate en trio en do majeur » (BW 529) de Bach. Faisant un usage minimal de la registration, il a atteint l’effet sonore optimal pour ce morceau. Parfois, la simplicité paye.

Qui, entendant le nom d’Astor Piazzolla, ne pense pas tout d’abord au nouveau tango argentin ? Une performance intimiste d’« Ave Maria » a permis au public de la Clemenskirche de découvrir un côté peu connu du Sud-Américain. Les variations sur « Å, hvor salig det skal blive » de Bjarne Sløgedal — les miniatures magiques — avaient déjà emporté l’adhésion. Ralph Vaughan Williams est très connu et apprécié au Royaume-Uni. Son hymne gallois, « Rhosymedre », a été écouté comme un moment de grâce apaisée.

Avec la toccata chorale « Kjærlighet er lysets kilde » (« L’amour est la source de la lumière ») d’Egil Hovland, Tim Rishton a servi le dernier plat de son menu. Cela a offert une dédicace à Widor, mais sans pour autant pousser l’orgue dans ses derniers retranchements. Le public ravi a applaudi avec enthousiasme.

Bernd Heumüller
Die Glocke, 03.10.17
Texte original (PDF — en allemand)


Rishton se plonge dans l’« Aquarium » de l’orgue

Havelberg : L’organiste norvégien, le professeur Tim Rishton, était le premier à jouer pour les concerts de bienfaisance « La cathédrale aide l’orgue d’église de la ville ». Tim Rishton est particulièrement demandé comme interprète de musique allemande baroque. En plus de son enseignement dans différentes universités, il donne également des concerts dans de petites villes, parce qu’il considère que la musique a toute sa place dans la population.

Le début du concert comportait une composition de l’Espagnol Jesús Guridi, dont l’œuvre est influencée par Wagner et la période romantique tardive. Cette œuvre est également ancrée dans le folklore basque. Lors du premier morceau, « Itsasoa Jaino dago » (Brouillard sur la mer), l’influence basque était particulièrement présente. Après la présentation du programme par l’organiste, on a pu entendre cinq morceaux des « Onze chorales préludes op. 122 » de Johannes Brahms. La sélection allait de morceaux sereins et connus comme « Herzliebster Jesu » et « O Welt, ich muss dich lassen » au morceau plus énergique « Herzlich tut mich erfreuen ».

Des sons inhabituels
La cathédrale Havelberg s’est alors remplie de sons inhabituels, évoquant soudainement des comédies musicales et des bandes originales de film américaines ainsi que du jazz. Tim Rishton a joué ici des morceaux du musicien et compositeur de musique sacrée allemand Andreas Willscher, né en 1955. Dans « Neuf morceaux pour orgue — Aquarium », un éventail de la vie marine a été présenté à l’orgue.

Tim Rishton a permis au nombreux public de plonger dans l’« Aquarium » et a réussi à conjurer les sons d’un total de neuf créatures des mers, grâce à son jeu parfait sur l’orgue Scholtze.

Retour aux classiques
La fin du concert nous a ramené au 19e siècle et à l’un des plus importants musiciens romantiques. La Sonate no 4 en si bémol majeur de Felix Mendelssohn-Bartholdy nous a permis de réaliser à quel point l’orgue et l’intérieur de la cathédrale sont merveilleusement harmonisés. La réaction du public a été très positive malgré une musique parfois inhabituelle, comme pouvait en témoigner les applaudissements ininterrompus et les nombreuses félicitations personnelles adressées à Tim Rishton.

Friedrich Egberink
Volksstimmen, 14.08.2015
Texte original (PDF — en allemand)


La marque d’un virtuose : Tim Rishton ouvre le festival d’orgue de Bocholt

Des températures extérieures estivales, une pièce fraîche et un organiste qui étalait des partitions : le commencement du festival d’orgue de Bocholt à l’église Saint Paul était original. Tim Rishton ... a brillé par son talent de virtuose et a reçu de longs applaudissements.

« Sonate en trio no 5 en do majeur » ... de Jean-Sébastien Bach ... Rishton a joué le premier mouvement, un allegro énergique, de manière plaisamment fluide ... a réussi de façon splendide dans le troisième mouvement, très exigeant au niveau technique. Il a offert une étourdissante diversité de voix et a impressionné avec son souffle solennel.

Le travail d’Andreas Willscher, « Aquarium », dans lequel il dépeint et met en musique de façon remarquable la vie marine et son environnement, est plein d’images tout en étant amusant. Rishton a parfaitement incarné les caractères, avec leurs différentes façons de se déplacer et les ambiances changeantes : de puissants accords décrivaient un « orgue de corail » avant qu’une raie ne passe paisiblement devant nous dans de flottantes harmonies. Une lotte a dansé sur une syncope jazz, des hippocampes nous ont salués tandis que le grondin avait simplement « le blues » et que les dragons de mer sont arrivés sur des suggestions de l’omniprésente toccata de Bach. L’interprétation de Rishton a suscité une telle émotion que les visiteurs ont applaudi le final pendant plusieurs minutes. ... La « Sonate no 4 en si bémol majeur » de Felix Mendelssohn a été présentée par l’organiste, parfois de façon splendide et majestueuse, à d’autres moments gracieuse et légère, pour finir par de splendides peintures sonores. Dans le « Concerto » de Vivaldi il n’a écarté aucun passage, et avec ce morceau une grande soirée d’orgue a atteint sa conclusion.

Michael Stukowski
Bocholter-Borkener Volksblatt, 9.06.2015


Un interprète au pied très sûr et à la technique sans faille
Rishton a déroulé son programme en produisant une interprétation convaincante. Il a su comment utiliser les couleurs tonales disponibles de l’orgue Silbermann de la salle. Le concert a ainsi produit une impression agréable et variée. Le point haut de la soirée a été atteint avec la Sonate en si bémol majeur, op. 65 no 4 de Mendelssohn Bartholdy. Mais les compositions norvégiennes, souvent dans un style harmoniquement exubérant, ont également emporté la conviction des spectateurs. On aurait presque pu croire qu’elles avaient été écrites spécifiquement pour l’orgue Silbermann. Rishton a terminé le concert avec le travail brillant d’Egil Hovland, qui révèle parmi ses origines la toccata française romantique tardive.

Felix Friedrich
Ostthüringer Zeitung, 25.07.2014


Découvertes dans le nid d’hirondelle
Festival d’orgue de la Ruhr à Saint Mari

Pour le petit orgue du nid d’hirondelle de Gustav Steinmann de 1967, le concert de dimanche soir était une première au festival d’orgue de la Ruhr. Et l’organiste norvégien Tim Rishton aura été reconnaissant pour cette petite mais excellente alternative à l’orgue Walcker déserté de Saint Reinoldi. Comme toujours au Festival d’orgue, une vidéo en temps réel de l’organiste était affichée sur un écran situé dans le chœur.

Ce professeur gallois est un artiste à la pensée profonde et structurée. Un organiste qui n’expérimente pas beaucoup avec des registrations innovantes, mais qui dessine par des traits incisifs les lignes et l’architecture des œuvres. Et il avait amené de quoi présenter des registrations et des tirettes bien distinctes dans son programme varié et éclectique.

Une variété d’ornements
Le son des préludes d’Homilius et de Buxtehude, et par-dessus tout de la Sonate en do majeur de Bach, était très clair sur cet instrument, qui dispose de 34 tirettes. Rishton a joué le mouvement lent de façon très chantante et détendue. L’enthousiasme est aussi de mise ; le norvégien a introduit beaucoup d’ornements différents dans le mouvement final.

Le « postlude » de William Mathias, un compositeur gallois qui a composé en 1981 l’hymne « Let the People Praise », pour le mariage du Prince Charles et de Lady Diana, était une découverte. Ce petit postlude a bénéficié d’une registration énergique avec un large assortiment de timbres colorés.

Un Piazzolla apaisé
L« Ave Maria » de Piazzolla sonnait également de façon complètement différente de ce que l’on connaît par ailleurs du compositeur de tango : très apaisé, tout en suggestion et sobre rythmiquement. Dans les variations de Jesús Guridi à la fin du concert, le norvégien a à nouveau démontré à quel point le son du petit orgue Marien peut être magnifique et coloré. Cet instrument est malheureusement joué beaucoup trop rarement en concert.

JG
Ruhr Nachrichten, 30.07.2013
Texte original (PDF — en allemand)


La musique dit un grand « oui » :
Tim Rishton joue dans l’Erlöserkirche [Potsdam]

La couronne britannique a toujours engagé les meilleurs compositeurs de son empire pour écrire des musiques mélodiques ou sérieuses pour les cérémonies religieuses liées aux couronnements ou aux mariages : Ralph Vaughan Williams pour le couronnement de la reine Elizabeth II et William Mathias pour le mariage du Prince Charles et de Diana.

De ces compositeurs britanniques, Tim Rishton a sélectionné pour ce concert dans l’Erlöserkirche une marche processionnelle et le prélude de l’hymne « Rhosymedre », deux œuvres qui, par leur solennité propre aux réjouissances ou aux hymnes, pourraient parfaitement et heureusement faire partie de célébrations nationales. Rishton a également joué des préludes de musique populaire ou d’hymnes des compositeurs norvégiens Bjarne Sløgedal et Egil Hovland, une musique qui s’est exprimée au travers de son caractère mélodique d’un romantisme simple et de son approche ingénieuse, en particulier la toccata au rythme entraînant de Hovland. Le musicien d’église et le professeur d’université, qui vit et travaille en Angleterre et en Norvège, a su utiliser au mieux les possibilités tonales de l’orgue Schuke selon les besoins des œuvres jouées.

Ce concert était organisé en collaboration par le Festival international d’orgue d’été et le Festival Bach de Potsdam. L’intérêt spécifique s’est prolongé avec la musique de soirée de Jean-Sébastien Bach. La Toccata, adagio et fugue en do majeur, BWV 564, de sa période à Weimar, est en grand format. Avec énergie et spontanéité dans l’expression, la toccata a ouvert grand le passage. Dans la lecture de Rishton, c’était comme un grand portail par lequel on entrait puissamment dans l’abondance d’un monde sublimement paré. L’adagio était plein d’une respiration calme et assurée, à la sobriété mise en avant ; tranquille même dans les minutes finales sauvagement chromatiques. La fugue s’est déroulée avec une affirmation primale de confiance en soi ; une pure positivité : la musique dit un grand « oui ».

Vivaldi et Bach : c’est également un large domaine. Le Saxon [Bach] a transcrit pour l’orgue le Concerto en la mineur du compositeur Vénitien. Rishton l’a interprété dans l’Erlöserkirche. L’adagio fut particulièrement captivant et géré avec sensibilité, puis s’est coulé dans l’allegro énergique. Le style de jeu frais et épuré de l’organiste s’est à nouveau révélé dans la Sonate en trio en do mineur, BWV 526. Qu’il s’agisse du vivace dansant et heureux, du largo à la tonalité merveilleusement équilibrée et légère ou dans l’allegro final avec son charme compact, frais et joyeux : chacun était heureux et appréciait la musique parfois lente et parfois gaiement débordante, ainsi que les couleurs argentées dans lesquelles elle baignait. Nous applaudissons chaleureusement Tim Rishton.

Klaus Büstrin
Potsdamer Neueste Nachrichten, 11.09.2009
Texte original (PDF — en allemand)


FESTIVAL BACH : une interprétation de maître
Concert d’orgue virtuose par l’expert de Bach Tim Rishton dans l’Erlöserkirche

BANLIEUE DE POTSDAM / BRANDENBURG - traditionnellement, l’été international de l’orgue de Potsdam se joint au Festival Bach de Potsdam pour deux concerts. L’orgue et Bach forment un ensemble inséparable. Dans les nombreux lieux où le grand compositeur baroque a travaillé, jusqu’à son dernier poste de Thomaskantor à Leipzig, Bach a toujours été lié au « roi des instruments », ce dont témoignent avec éloquence ses nombreuses œuvres pour orgue

L’invité de l’Erlöserkirche de mercredi soir était un expert reconnu des œuvres pour orgue de Buxtehude et Bach, Tim Rishton. Le point central du programme était constitué de trois œuvres emblématiques du natif de Thuringe, Bach. La « Toccata, adagio et fugue » de 1709 est un opus essentiel et brillant. Un long solo sportif au pédalier de la toccata se transforme en un adagio avec un accompagnement du pédalier entraînant et constant, qui s’achève par un fugue exubérante. Le chef-d’œuvre virtuose du jeune Bach a été interprété de façon exemplaire..

L’arrangement des concertos grosso et des concertos solo par les compositeurs contemporains a occupé également une place importante dans la production des œuvres de Bach pour claviers et orgue. Rishton a sélectionné pour ce concert l’un des « six concertos par différents maîtres », BWV 593. La source de cet arrangement est le Concerto pour deux violons et orchestre en la mineur d’Antonio Vivaldi. Dans cette œuvre, l’allegro final est un point fort particulièrement énergique qui offre d’intéressantes possibilités descriptives à l’orgue pour imiter le son du violon.

La troisième contribution sérieuse était constituée de la Sonate en trio no 5 en do majeur. Les six Sonates en trio ont été composées par Bach pour servir d’exercices pour le clavecin pédalier pour son fils aîné Wilhelm Friedemann. Elles représentent aujourd’hui le « grand art » pour tout bon organiste. Avec Rishton, cette œuvre en trois mouvements avait trouvé son maître. En plus de Bach, ce musicien vivant en Norvège a joué des œuvres de William Mathias, Ralf Vaughan Williams, Bjarne Sløgedal et Egil Hovland ; chacun de ces compositeurs a été inspiré par Bach

Matthias Müller
Märkische Allgemeine, 11.09.2009
Texte original (PDF — en allemand)


Tim Rishton maîtrise parfaitement l’orgue

Un moment plaisant pour les visiteurs de Ponitz

Cette année, la paroisse de Ponitz a à nouveau invité les visiteurs à l’intéressant festival de concerts sur son orgue Silbermann. L’attractivité de cet orgue précieux et au son fantastique est intacte, et le concert agréable de samedi dernier l’a prouvé encore une fois.

Mais l’organiste invité bien connu Tim Rishton, engagé pour donner le récital, a également contribué au très grand attrait de la soirée. Tim Rishton navigue entre son Angleterre natale et la Norvège comme professeur.

« Sa spécialité est l’interprétation historiquement informée », a annoncé le musicien d’église de Ponitz Christoph Beyrer dans son allocution d’introduction. Et le concert de Tim Rishton l’a pleinement démontré. Son jeu immaculé était parfaitement adapté à l’action et au style de jeu de l’orgue de Ponitz, qu’il a contrôlé depuis la toute première note. Bien qu’il n’ait pas utilisé la banquette Silbermann originale, une interprétation strictement authentique a été produite sur cet orgue. L’interprétation tonale des compositions individuelles du programme a reflété avant tout les fantastiques tirettes des principaux et des fonds de l’orgue Silbermann.

Cela a naturellement bénéficié dès le départ au caractère de la seconde Sonate pour orgue en do mineur de Felix Mendelssohn Bartholdy. Des passages déclamatoires de l’ouverture se détachant avec clarté aux accords finaux à la longueur charmante, beaucoup de détails ont été mis en lumière avec un certain détachement anglais. De sa terre natale anglaise il n’avait inclus qu’un morceau dans le programme, à savoir quatre mouvements de Water Music par l’anglais d’adoption Georg Friedrich Händel, composé initialement pour une croisière en bateau royal sur la Tamise. Ces quatre mouvements ont été rendus très distinctement sur l’orgue Silbermann, par-dessus tout l’Air magnifiquement interprété par les voix de flûte très expressives. Le très connu Hornpipe n’avait rien perdu de son effet, mais aurait pu néanmoins s’accommoder d’une vitesse plus rapide.

Rishton a ensuite joué de façon impressionnante la « Résurrection de Jésus-Christ » par Justin Heinrich Knecht. Cette peinture de Pâques pour orgue, comme l’indique le sous-titre de l’œuvre, exige une interprétation colorée. Il y a eu le terrible silence de la tombe, avec les voix les plus discrètes de l’orgue Silbermann, le tremblement de la terre, dépeint par des tirettes grondantes très sombres, et en conclusion la chanson triomphante des anges, dans laquelle Tim Rishton a permis au style musical joyeux et vaillant d’émerger.

Cela fut suivi de façon stylée et impressionnante par le Concerto en si mineur d’Antonio Vivaldi et trois prologues d’hymnes intimistes de l’opus 122 de Johannes Brahms. Tim Rishton a démontré ici qu’il connaît tout aussi bien le style du 18e siècle que celui du 19e. Il a évité les sons trop connotés souvent entendus dans Vivaldi et a fortement mis en avant les tirettes des fonds de l’orgue Silbermann dans les miniatures brahmsiennes. On aurait pu souhaiter avoir la chance d’entendre le grand plenum qui comporte le trombone dans le pédalier, par exemple dans l’ascension émotionnelle de la coda du prélude et dans la Fugue en fa mineur, BWV 534 de Jean-Sébastien Bach, qui suivit. Tim Rishton s’y est refusé. Cette abstinence était peut-être un choix délibéré. à Lent, là où nous nous trouvons présentement, les sons bruyants de la jubilation ne sont pas nécessairement appropriés.

Néanmoins, avec ce concert Rishton a laissé derrière lui une très bonne impression, en particulier grâce à son utilisation experte de l’orgue Silbermann de Ponitz, difficile à appréhender.

31.03.2009
Ponitz (OTZ/Dr. Felix Friedrich).
Ostthüringer Zeitung, 01.04.2009
Texte original (PDF — en allemand)


Presse norvégienne

John Stanley

« À sa manière captivante, informative et humoristique, il a parlé de Stanley, de sa musique et des musiques qui s’y rattachent. Ce fut une heure agréable, avec de nouvelles informations sur la musique anglaise et les Volontaires de Stanley interprétées magnifiquement sur l’orgue Grønlund. »
Edgar Hansen dans Norsk Kirkemusikk 2013 i, page 33, à propos de la conférence-récital durant le Festival d’orgue norvégien de 2012.

Un organiste divertissant

SPJELKAVIK. L’organiste bien connu Tim Rishton a eu l’honneur d’ouvrir le festival de concerts d’automne dans l’église de Spjelkavik. Il donne des concerts internationaux et est de plus un orateur extrêmement divertissant.
Les six sonates en trio de Bach ... exigent dès le départ une concentration intense pour garder le contrôle de la richesse des dialogues entre les voix. Tim Rishton dispose également d’une musicalité bien ancrée et calme qui permet à la musique de s’écouler librement et sans entraves.
L’arrangement du Concerto de Vivaldi ... par Johann Gottfried Walther ... était frais et clair.
« Rhosymedre », le prélude du chorale de Ralph Vaughan Williams, est une œuvre bien structurée avec de charmantes lignes mélodiques qui, dans l’exécution de Rishton, a transmis une magnifique expérience. Les personnes présentes en ont eu largement pour leur argent.
Sunnmørsposten 29.09.2008 Texte original (PDF).

« Durant le numéro d’ouverture de John Parry, on pouvait fermer les yeux et rêver du dix-huitième siècle. La Passacaille en do mineur de Bach a dansé avec la force et la plénitude de sa musique
Finnmark Dagblad

« De la musique d’orgue du meilleur niveau »
Sør-Varanger Avis

« Nous espérons que cet organiste reviendra à Harstad, car nous voulons vraiment l’entendre à nouveau »
Harstad Tidende

« un organiste brillant »
Gudbrandsdalen og Lillehammer Tilskuer

« Pendant une heure et demie, l’église était remplie de la musique de Vivaldi, Brahms, Bach et Mendelssohn, jouée par le Dr Tim Rishton ... et chaque visage était éclairé par un sourire heureux »
Framtid i Nord

« Le concert était constitué de morceaux assez courts par des compositeurs très connus, notamment Bach, Brahms et Vivaldi, reliés entre eux par les histoires amusantes de Rishton ... En combinant une musique magnifique avec un humour plaisant, Rishton a fait vivre au public une expérience de concert atmosphérique »
Rana Blad

« Fabuleux jeu d’orgue ... très apprécié »
Sogn Dagblad

« Incroyablement bon ... un organiste de classe mondiale »
Romsdals Budstikke